
Les réalisateurs américains Ethan et Joel Coen pendant la conférence du jury du 68e Festival de Cannes le 13 mai 2015. (c) Moland Fengkov
De notre côté, les deux films qui continuent à nous habiter restent Le Fils de Saul (notre critique du film) de Laszlo Nemes et La loi du marché (notre critique du film) de Stéphane Brizé : deux films au parti pris de mise en scène forts, deux brillantes propositions de cinéma. Festival de claques, donc, puisque pour le moment, personne ne s’accorde vraiment sur le film qui l’assène.
A part ça, entendu devant les bureaux du service de presse, en attendant de récupérer notre carton d’invitation à l’aïoli du maire de Cannes (tous les ans, celui-ci convie la presse à partager un buffet en compagnie des membres du jury dans les hauteurs de Cannes) : “On dirait des chèvres, j’ai l’impression d’être dans le Lubéron.” La voix venait des bureaux qui offrent une vue sur les photocalls quotidiens. De là, on entend les hurlements de la meute de photographes tentant d’attirer le regard des stars vers leur objectif.

Moland Fengkov

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