Holy Motors
J’ai un projet : devenir fou. On sort de Holy motors groggy, comme après avoir fait plusieurs rêves somnambuliques. Il faut digérer cette célébration du cinéma avec une majuscule, se laisser imprégner de ce voyage entrepris avec mélancolie mais aussi avec un je-m’en-foutisme d’une réjouissante liberté pour se rendre à l’évidence : déroutant, agaçant, ennuyeux, triste, drôle, beau et laid à la […]
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