Alejandro Gonzalez Inarritu & Takeshi Kitano à Cannes
Après deux époustoufflantes performances de mise en scène (Amours chiennes et 21 grammes), Alejandro Gonzalez Inarritu commençait à montrer un certain essoufflement dans Babel qui atteignait les limites de son système de narration éclaté etchoral, principal reproche que lui lancent ses détracteurs. Autant direqu’on l’attendait au tournant avec Biutiful.Ce 4e opus rassure et déçoit à la fois. Le réalisateur mexicain se veutmoins ambitieux (moins prétentieux […]
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